Récit de vie d'une peace corps américaine qui a dédié 2 ans de sa vie à enseigner le patchwork au Mali. Ce livre est une histoire de passions qui mêle histoire et fiction.

Quatrième de couverture

C’est une histoire de passions.

Celle de l’auteure, Bonnie Lee Black, New-Yorkaise amoureuse de l’Afrique et des Africains, jusqu’à se sentir Africaine elle-même tant elle est en phase avec ce pays, le Mali et ses habitants. Bonnie nous invite ainsi à plonger au cœur de la société traditionnelle malienne aux côtés des femmes en boubou pilant du millet au mortier de bois dans les cours familiales ou s’ébattent joyeusement de nombreux enfants.

La passion de transmettre aussi, en particulier ce savoir-faire traditionnel américain : le patchwork, si intimement lié à la vie domestique et sociale des pionniers.

La passion de la liberté enfin, puisque cet art exercé avec application par des femmes maliennes courageuses et déterminées va leur apporter fierté, autonomie et liberté économique. Tout comme les motifs des patchworks flottant au vent du sud esclavagiste montraient aux fuyards le « chemin clandestin » vers le nord, le Canada, vers leur liberté.

Parallèlement, Bonnie nous fait vivre l’histoire d’une jeune malienne, Jeneba, arrachée à sa famille, à son pays et vendue en esclavage en Caroline du Sud en 1822

C’est l’opiniâtreté et la détermination de Bonnie, ex Peace Corps, ayant offert deux ans de sa vie aux femmes maliennes, qui l’ont conduite à porter cet ambitieux projet.