Ce recueil a pour aspiration de comprendre la nature humaine, de pénétrer les arcanes des dimensions existentielles. Tout cela est nourri par une utilisation de la métaphore qui demeure omniprésente. Je danse dans des vertiges, des délires de peaux, des fantasmes musiciens, des essences de chairs ontologiques. Je me nourris de représentations pulsatives identitaires et biologiques réflexivités, psychologies des codes enroulés de théâtralités d'azurs intérieures. Je créé une langue, un style nouveau, une esthétique neuve, dans des parchemins vierges de toute rencontre artistique, cela dans des territoires inconnus, cryptiques, lavés de gestations croulant sous les enfantements télépathes, des clairvoyances de pores intégraux. Je perfuse, animise, associe, les souffles propédeutiques des silences synthétisés, car je déroge à la déontologie bien-pensante des idéaux classiques, des styles acceptés et remplis d'éloges, dans une chimie, une infrastructure à rêves sensoriels, à mélanges cognitifs, vitalistes, pleureurs des pitances poétiques crevées, grêlées de respirations matricielles. J'invente une combinatoire des mots je dirais métaphysiques, méta-organiques, supra-surréelles, dans des parfums à jauges tremblant de viscosités folles, dans des digressions de firmaments aux écoutilles sacrificielles les entendements divins, aux lueurs, aux horizons peignés d'aurores mystiques. Les degrés des images hominiens perclus de symboles, sont comme des cordes de l'âme aux énergies de pluies, là où dansent les cigales violettes, dans des morphologies d'oiseaux intellectualistes, des soleils de flaques riant des flagelles d'amours cicatriciels, dans des continences sémiotiques, au-delà des coeurs élastiques. Les anges pleurent les yeux oubliés, les yeux fomentés de délires chirurgicaux, dans des éveils d'étoiles arrachées d'incertitudes électriques. Et j'hurle les cailloux copules, des reproductions à chrysalides sensualistes, les partages d'agapes ou des figements filés de pulsions à transmissions extensives des doigts mémoriels, se séparent en des abeilles plurielles, fractales des semences extraites de confitures rousses crépusculaires, là les nuages verticalisent les odeurs d'ongles thymiques, égrenées de vins sociologiques, balancés d'orgueil travestit d'ondées cérébrales, ô cultuels recueillements des croyances communicatives des idées traversées d'équilibres temporels, ô libations des esprits harmoniques, implémentés de cygnes artériels, et je compense... .