Je me nourris substantiellement de métaphores organiques. J'opère des transactions littéraires à chairs de brasier quantique. Je chante une symphonie poétique mêlée de créations positivistes, illuminées, par des corps intégrateurs, de linguistique identité, là s'incrustant des zététiques relationnelles, parcheminées, des danses cryptiques, lavées de cristaux d'azur, aux yeux biologiques puissants, avec des chevelures d'images mathématiques, crevant les élastiques impressionnistes, baroques, des corps intuitifs pulvérisant, les arrières-mondes, des peintures de langues, aux barycentres émotionnels, analytiques, d'ipséités des parfums, d'onguents scientifiques, des lèvres vivaces, perlées, par des aliénations d'âmes centrifuges, voilées, ramassées, par des violettes réalités des silences, des soleils, des magnétismes d'ossements intérieurs, psychologiques, avec des prostitutions cosmiques embrasées, des métaphores inessentielles, violant les déontologies normatives, bien-pensantes, des archétypes aux cordes hommes, aux modélisations unicitaires, avec des rapports existentiels, fétichistes, par-delà les cribles, des génétiques dramatiques causales des pulsions, des hystéries d'offrandes cicatricielles, contemplatives, des langues pourfendant les irrationnelles, les surréalités des chrysalides nerveuses, des enfantements neurologiques égrenés par des ondes blanches, des rayons spectraux, des flèches chirurgicales amoureuses, avec des Pensées d'aumônes littérales, des réflexologies émanant des astres théologiques, des cascades épileptiques à niveaux dérogatoires des cellules pragmatiques, par associationnismes divergences des liens d'accordéons anthropologiques, des représentations soufflant des licornes de feux grammatologiques, des transports d'essences noématiques, aux hasards digressifs des miroirs hypocrites, simagrées tendancieux des contritions précieuses, pierreries profondes des démences voyantes, des veines ontologiques, des chaos taxinomiques températures, aux thérapeutiques irréalités, des vides péripatéticiens, gorgés de rires sarcastiques, des grappes de mémoires plurielles, indivises,  qui dépassent les syntagmes saints, des constellations de désirs asymptotiques, des souhaits, des potentialités, des virtualités ensemencées de statues tribales, ethniques, cerveaux, semences, dévoilant les consciences ensanglantées, ciseaux des oiseaux artistiques, qui opèrent, des médecines quantiques par degrés tordus, pouls complémentaires, moléculaires, géométriques,  avec des araignées psychotiques, menteuses, viscérales gemmeuses des diapasons vomitifs, des boucles d'intelligences, à cycles prohibitifs transfinis, achalandant des exhalaisons d'imagos matriciels, pleureurs les coeurs sublimés et symétriques par églises morphologiques des fronts sublimes, prodigieux, les cosmiques libellules des alcôves arithmétiques, à genoux devant les hiérarchies économiques, fiévreuses, anachorètes "transfixations" des dénis, des dehors implémentés, des synergies obscures, difficiles, des pyramidales cataractes comportementales les dasein homologiques, des cathédrales oubliées, sophrologiques, inharmoniques, aux fontaines des lunules expérimentant, choisissant, évaluant, les voyelles songeuses, providentielles, ô chapelets des citadelles poétiques, qui dévorent des clystères microscopiques, aux racines bleues, vierges, des situations d'oppositions inconscientes... télépathies muées d'orgasmes totalitaires. Réfringents. Des nourritures fécondes, douloureuses, bienveillantes, des pétales sémantiques, graphologiques, durées, par ontologies fissurées d'infinis incorporels, des étoiles perfusant les génocides roux, les territoires oecuméniques, par folies temporelles cardiaques, extractions onirismes, lacrymales, des besoins stochastiques ivres, accidentels, des chimères nauséeuses, chimiques, invisibles, des valeurs à genoux, face aux fractales pensées intentionnelles, libératoires, des géographies abstraites, couvées, qui caressent les insomnies dialectiques des subtilités musiciennes, des hybridations idéologiques télescopiques, par néantités obsessionnelles des déplacements, des pendules chlorophylliens jaloux, schizophrènes, des vacuités consubstantielles, transcendantales cognitions, soupirs, des bipolarités originelles, vents des sarments hypothétiques, sarclés d'inerties profanes, théogoniques, problématiques, Libertés, des archéologies privatisées, délinquantes, voyeuses, animismes des pachydermes acoustiques, a-représentables, organisationnels des jeux de tabernacles incroyants, avec des murmures psychanalytiques, qui creusent les arborescences des phalanges dédoublées, mécanisées, des comètes labourant, les états d'impermanences éprouvées, sensitives, jaunes, des ordinateurs humains perfectibles illusionnismes, des plantes accoucheuses, des logicismes cartésiens, des pleurs masturbatoires, des pubescences logiques, qui ruissellent, coulent, inondent, sous les mélanges torpides, voluptueux, des nénuphars agnostiques, providentiels, scarifiés... O océans de violoncelles communiquant des transgressions d'incomplétudes synaptiques, ô transitivités d'horloges dichotomiques d'arabesques migratoires, d'amulettes infortunées, ô cabales d'absolus fétichisant, les complexes dyslexiques, des doxa continues, aux archipels incandescents, hégémoniques, dispersifs, cultuels d'histrionismes des Vérités macroscopiques phonétiques, des rutilances de pores circonflexes, ô distanciations des flûtes à coïts comportementaux... ! O doigts athées, intelligents, croyant, les obédiences relativistes...