Alors, je viens de lire ce bouquin. Il est TRÈS rare que je commente un bouquin d'Atra, alors j'espère que ça ne sera pas pour rien :

Des choses assez chiantes, comme "la période sombre (appelée "période sombre")", ou "Fred, c’est moi, je suis Fred, écrivain en devenir et qui espère aussi devenir écrivain.".
Des choses plutôt gênantes, comme la référence à InLibroVeritas dans une version d'Atramenta (je sais, c'est pas vraiment la guerre, et je suppose que le bouquin trouve son origine là-bas, mais je trouve ça gênant, pour un Atramentien comme moi), le commentaire élogieux de M83, ou "le génial professeur Fred". Question centralisme, ça se pose là.

Et puis, au moins un truc un peu con, mais vraiment du genre "la machine à dire la vérité". Okey, gros lieux-communs sur les politiciens.

Le reste est assez drôle, mais je peux pas tout détailler.

Enfin, des trucs pas logiques, comme des poèmes dans un recueil de nouvelles (c'est marqué sur la couverture et la présence lyrique n'est mentionné nulle part avant d'y arriver).
Je veux bien qu'on mêle nouvelle et poésie, dans un texte en vrac, qu'on soit poétique dans une nouvelle, une pièce de théâtre, un roman même, partout, mais foutre des poésies dans un "recueil de nouvelles" : je dis non.

Et puis, je suis tombé sur la "Lettre au fils que je n'aurai jamais". SUR LE CUL. Bluffant de sincérité. Perso, je dégagerai tout le reste, pour ne garder que ça. Je l'ai lu trois fois (du coup quatre, parce qu'en écrivant le comm', j'ai eu envie d'y retourner) et ce sera peut-être le seul souvenir que je garderai durablement de ce bouquin.

Merci Fred. Merci beaucoup.

bon, d'habitude je ne lis pas du Marcou (voire je n'aime pas^^) mais j'ai passé un bon moment et plusieurs passages m'ont amusé comme "la femme à Fred" et d'autres.