Nous retrouvons avec Le palais du diable, l’héroïne enlevée par la secte de Formose qui part avec le pasteur Osei en bateau pour traverser la mer Noire et rejoindre Istanbul. Elle paie la traversée de sa personne, notamment auprès du capitaine Alessio Papadopoulos. Ils prennent ensuite l’avion pour rallier Dubaï où l’émir Mohamed Ben Azeiour, ami de l’homme d’Église, les attend. Clitorine imagine un séjour calme pour profiter du farniente entre le soleil et la plage. Elle est accueillie comme une princesse, jusqu’au départ précipité de son ami. Elle ne pèse pas lourd contre les désirs insatiables des hommes et la richesse insolente dont ils sont la représentation masculine incontournable des émirats. Elle sert d’objet sexuel pour des jeux toujours plus sordides ou le monde animal n’est jamais loin. Elle allaite tous ceux qui veulent retrouver, en même temps que le sexe, les sensations de leur enfance. Ses seins sont les mamelles avec laquelle se désaltèrent les amis de l’émir, tels des bédouins dans le désert.

Restée seule avec l’émir, il la présente à ses amis pour des jeux de plage pas très sages qui ne sont pas des châteaux de sable. La servante mise à sa disposition, Ashwini est très proche d’elle, mais tel Judas, elle l’a trahi pour mieux l’offrir à son maître et à ses sœurs satanistes. Le passage entre les mains des frangines sera une diablerie ou Clitorine ne sera plus qu’un faire-valoir orgiaque ou la débauche en l’honneur de Satan se révélera encore plus dure que celle en l’honneur de Dieu !

Fabrice et Morgane ne restent pas inactifs et font en sorte que l’État français intervienne pour la libérer des griffes du diable, ainsi qu’une autre très jeune fille, du nom d’Océane, enlevée, elle aussi, dans de troubles circonstances et qui selon son résumé, a subi de nombreux sévices...